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Épisode 1 - Ciné Marigny ou mon curé Cinéaste... - 19min
Réalisé par Jean-Stéphane Doignon
À partir des films du curé de Marigny St Marcel tournés dans les années 50, ce documentaire tente de retracer la vie et les passions de cet homme d’église. Enrichi de témoignages de personnes qui l’ont rencontré, ce documentaire est le reflet d’une certaine France rurale d’après-guerre.
Épisode 2 - La route des Prés - 16min
Réalisé par Marc Rougerie
Colette Vibert-Guigue est paysanne dans le beaufortain. Avec sa caméra super8mm , elle a réalisé des films sur sa vie, son quotidien, au début des années 70. Le documentaire retrace sa démarche de cinéaste amateur dans son cadre familial et montagnard.
Épisode 3 - Chroniques d’un village oublié - 16min
Réalisé par Jean-Stéphane Doignon
À l’occasion de son mariage en 1952, un parisien Robert Masson, découvre Sardières. Il a épousé une fille du pays, pays qu’elle a ardemment souhaité quitter pour chercher du travail en ville. Il décide de filmer une sorte de chronique du village qu’il réalisera sur une dizaine d’années à l’occasion de ses vacances. Regard affectueux d’un parisien sur un hameau déshérité de Haute Maurienne.
Épisode 4 - Chroniques d’Yvoire - 15min
Réalisé par Gilles Perret
Raymond Lacroix, jeune instituteur nommé à Yvoire, achète une caméra Pathé-Wébo 9,5mm pour y filmer la vie quotidienne. Nous sommes en 1953. Son témoignage offre le spectacle d’un village qui paraît tranquille dans une atmosphère arrêtée. Le contraste est saisissant, avec le spectacle actuel d’un Yvoire ‘’sur fleuri’’ débordant d’activité touristique.
Épisode 5 - Un Amateur éclairé - 19min
Réalisé par Marc Rougerie
Madame Chapeaux est une des premières personnes qui a fait confiance à la Cinémathèque en déposant les films de son mari Roger Chapeaux, alias Jean Ercé. Son métier de journaliste l’entraîne sans doute à tourner son regard et sa caméra sur le monde qui l’entoure. Il filme Aix les Bains, le Mont Revard, Chambéry. Là, il suit l’épopée de la construction du premier grand ensemble le ‘’Biollay’’en 1953 qui augurait après guerre une volonté de vivre ensemble. En humaniste, il aborde la question fondamentale de la place de l’homme dans la société.
Épisode 6 - Mécaniques du ski à la Clusaz - 19min
Réalisé par Jean-Stéphane Doignon
Nous montons à la Clusaz dans les Aravis avec les Mérillon père et fils qui nous offrent des images d’évolutions à ski et des très pittoresques et acrobatiques débuts des remontées mécaniques. Mais ce film suggère surtout l’exceptionnelle complicité sous-jacente de la population du village prompte à s’impliquer dans cette aventure touristique que représentait la perspective du ski.
Épisode 7 - À la recherche du temps perdu - 25min
Réalisé par Stéphane Perriot
Enfant du pays, Pierre Granger aura tenté toute sa vie à sa manière de retenir le temps. Né à la Biolle en 1926, sa carrière professionnelle le mène à Paris où il met en place le journal « Jeune force rurale » mais, chaque vendredi, il quitte son bureau pour rentrer chez lui dans l’Albanais. Son implication dans la vie culturelle locale est considérable. Artiste, il sculpte, joue de l’accordéon et du saxophone, pratique le théâtre, écrit… et filme. L’héritage cinématographique de Pierre Granger est fabuleux. François, son frère, décrit avec tendresse un homme attaché à son terroir et apprécié de tous.
Épisode 8 - Après guerre au bord du Rhône - 19min
Réalisé par Marc Rougerie
Qui est Marcel Dubois ? Les témoignages se croisent sans véritablement dévoiler ce personnage originaire de Seyssel. Antiquaire à Monaco, voyageur, il nous offre de très beaux portraits de femmes mais, c’est surtout sa mère qu’il filme avec tendresse. Il filme un bourg animé, l’hiver, les enfants à ski. On rit, on semble s’amuser. On devine mal ce que sont les héritages de Seyssel, on voit un quai banal en oubliant ce qu’a été la navigation sur le Rhône. Au lendemain de la guerre, Marcel Dubois filme un Seyssel bien vivant qui ne laisse pas présager son actuel endormissement...
Épisode 9 - Joseph Léger, cinéaste en Maurienne - 19min
Réalisé par Stéphane Perriot
Joseph Léger est photographe, il a repris le commerce de ses parents à Saint Jean de Maurienne créé en 1917 afin de satisfaire la demande en photo d’identité des ouvriers massivement embauchés pour la création d’une voie ferrée. Il filme avec une caméra 16 mm des mises en scène intimistes qui évoquent la vie quotidienne dans les années 1950 et confirment son art de portraitiste. Attentif à l’actualité de sa région, il filme la tragique crue de l’Arc en 1957 et l’accueil que la population de Saint Jean de Maurienne fait en 1960 au Général De Gaulle ; il s’essaye ce jour-là au cinéma sonore...
Épisode 10 - Ugine, cité radieuse (ou pas une ombre au tableau) - 19min
Réalisé par Jean-Stéphane Doignon
Ce documentaire est réalisé à partir de films de commande tournés par Georges Coutable dans les années 50, panégyrique de la vie d’André Pringolliet, Maire d’Ugine de 1908 à 1959. On y découvre la transformation d’Ugine, de bourg rural en une cité industrielle avec les infrastructures qui l’accompagnent. Mais ce que les images ne révèlent pas, les commentaires lucides et détaillés de Michel Etiévent le précisent ; en tant que fils d’ouvrier et écrivain, ses analyses sont indispensables à la compréhension des mutations de cette « cité radieuse ».
Le DVD du Feuilleton d’une mémoire heureuse est toujours disponible. N’hésitez pas à le commander.
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