Ce film témoigne de l’impact du protectorat français (1912-1956) à Casablanca : les médinas et mosquée se mêlent aux immeubles d’architecture coloniale, les charrettes aux voitures sur les larges routes récemment tracées, les plaques commémoratives à demi effacées remémorent le débarquement français.
Cuves de stockage maritimes, Plage, promeneurs
Caméra embarquée, route bordée de palmiers
Intérieure de la Médina, bâtiments blancs, locaux
Vagues venant frappées des rochers
Palais de Justice de Casablanca
Homme qui tire charrette dans rue nouvelle et large
Jardin, palmiers
Monument commémoratif « A la mémoire de Charles de Foucauld », ancien officier de cavalerie de l’armée française qui explora le Maroc en 1883 sous une fausse identité, pays encore largement méconnu et hostile aux chrétiens par peur d'une invasion pareille à celles qui se sont déroulées dans les pays voisins.
Le Monument à la Victoire et à la Paix de Paul Landowski, commémorant l’entraide entre les troupes françaises et marocaines lors de la Première Guerre.
Charrettes et voitures devant deux bâtiments blancs flamboyants, sur la devanture de l’un est inscrit « France » et sur le toit est accroché les lettres de « Citroën ».
Monument commémoratif du Poste de Commandement du Général Drude en 1907 à propos du premier débarquement des troupes françaises en 1907. Au cours de cette année, l’armée navale française a commis des bombardements dans la ville de Casablanca à la suite d’une insurrection par des tribus marocaines qui s'opposaient à la colonisation française.
Immeubles blancs neufs de style colonial.
Plan moyen : mosquée, ville ancienne, charrettes, rempart de la médina.
Un homme arabe marche sur la terre battue.